J’aime les MOTS, les jeux de mots, les calembours, les mots doux (qu’on aimerait recevoir de temps en temps), les bons mots, même dits à demi-mot, les mots cachés, les mots mêlés, les gros mots (qu’il ne faut pas dire mais qui font des fois du bien !), les mots d’enfants (que les grands utilisent encore), les mots d’esprit, les mots-clés, les mots-valises (laissant notre esprit voyager), les mots d’amour (perdant leur sens à être trop dit, perdant l’Autre à n’être jamais dit), les mots durs (que l’on peut regretter d’avoir eu), les mots de passe (qui nous délaissent souvent au mauvais moment), les mots de liaison (quelle douce allusion) … les mots d’un autre (que l’on aime parfois s’approprier), les mots d’antan (et leur goût de nostalgie), les mots d’ordre (s’ils sont de circonstance), les mots magiques (qui se perdent parfois), les mots justes (mais faussement faciles à dénicher) … j’aime les mots depuis toujours, le sens des mots, leur force sans oublier qu’elle peut être néfaste parfois selon l’usage que l’on en fait.
Dans la bienveillance les mots peuvent venir alors au secours des maux, soulagent, adoucissent, réparent, mettent les maux à mal et d’un mot à l’autre, on arrive au mot de la fin, la fin des maux !
C’est tout naturellement que je vous propose une approche par l’écrit. L’écrit apporte une distance nécessaire pour travailler sur soi. Mettre des mots sur ce que vous ressentez vous amène à mieux comprendre une situation, une difficulté, la surmonter, et ainsi … Vous avancez !
Posons des mots sur vos maux, mettons vos maux à mal et d’un mot à l’autre …
… Libérez-Vous !
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Valérie Collin-Fossaert 