Valérie Collin – Fossaert
Psychologue diplômée depuis plusieurs années déjà (2002), ayant notamment exercé une quinzaine d’années en milieu scolaire auprès d’adolescents, je me suis lancée dans une nouvelle expérience professionnelle courant 2021, une autre manière d’exercer : en ligne ! Je vous explique ici mon parcours et mon approche !
Passionnée par la psychologie cognitive, la neuropsychologie, la recherche, tout en m’intéressant à la psychologie clinique, mais devant me spécialiser, je me suis engagée vers un cursus de psychologie cognitive et un doctorat, tout en faisant des stages relevant davantage de la psychologie clinique. J’ai beaucoup aimé être au sein d’une école doctorale, participer à une démarche de recherche, être chargée de cours, mais pour autant les événements de la vie et l’envie « d’aller sur le terrain », d’exercer le métier de psychologue, m’ont amenée à une nouvelle spécialisation et à travailler pendant près de quinze ans en milieu scolaire auprès d’adolescents (CIO, collèges, lycées).
Par mes lectures, formations, expériences professionnelles, rencontres, par l’expérience de la vie tout simplement (devenir parent notamment), ma pratique a naturellement évolué. Ayant toujours été curieuse d’autres approches, ne souhaitant pas être limitée à un courant de pensée, à une technique précise, ayant eu la chance de travailler dans une équipe de psychologues venant chacun, chacune d’approche différente, tout cela m’a enrichi et nous pouvons dire que je suis d’approche intégrative, en tout cas intéressée par toutes les techniques pouvant être adaptées aux besoins d’une personne pour aller vers un mieux être ! Après plusieurs années en milieu scolaire, j’ai ressenti l’envie, le besoin d’exercer autrement, de recevoir les adolescents et leurs parents hors des murs des établissements scolaires, de pouvoir prendre davantage le temps de répondre à leurs besoins. Au détour d’entretiens, j’ai souvent rencontré des parents ayant besoin d’écoute, de conseil, de soutien, d’être rassurés, même réassurés. J’ai échangé avec des adolescents qui au delà des problématiques scolaires qu’ils rencontraient avaient besoin de parler, d’aborder différents sujets qui les préoccupaient comme l’avenir, la famille, l’identité, les relations amoureuses ou amicales, … Et la pandémie est arrivée, elle n’a pas à proprement parlé joué le rôle de révélateur, mais m’a amenée à mieux comprendre ce que je ne voulais plus faire, comment je pouvais exercer et me sentir plus en accord avec moi-même dans la sphère professionnelle.
J’ai toujours aimé les mots, l’écrit, le fait d’avancer vers la solution en posant des mots sur ce qui nous préoccupe. Ecrire permet l’introspection, de laisser mûrir une réflexion, de s’exprimer librement en prenant le temps, de pouvoir aller au bout de sa pensée et peut être source d’apaisement. L’approche par mail était pour moi toute trouvée, mais ne peut répondre aux besoins de chaque personne. Une « mise à distance » me semblait pour autant un élément utile et bénéfique pour prendre le temps, faire le point, se ressourcer et être prêt à un échange, un travail sur soi efficace, se sentir libre de se dévoiler. C’est naturellement que l’entretien par téléphone s’est imposé à moi comme le mode de communication le plus simple, sans interférence de l’apparence, du regard de l’autre, sans face à face, sans la gestion de l’agenda chargé, des déplacements en cabinet et permettant l’intimité, la discrétion, sans complication technique majeure, accessible au plus grand nombre de personnes.
L’approche humaniste, le « ici et maintenant », l’écoute bienveillante de Carl Rogers et plus largement la psychologie positive, sont pour moi l’approche (et la technique) que je souhaite privilégier ici pour permettre à chacun, chacune de se libérer de ses difficultés du moment, d’avancer vers une solution, un mieux être. Je ne propose pas de thérapie sur le long cours, Ce que j’aime c’est la consultation « one shot » comme disent les anglo-saxons, la séance ponctuelle, libre, en allant à l’essentiel ! On peut échanger sur plusieurs séances bien sûr mais vous décidez du rythme. On a toutes et tous à un moment donné de sa vie, même fréquemment, des questions, des doutes, le besoin de parler, d’échanger sur un sujet qui nous préoccupe, cela ne signifie pas que cela relève nécessairement d’une thérapie, d’un besoin de suivi (court ou long), mais juste pouvoir échanger pour avancer ! Consulter une psychologue ne signifie pas automatiquement troubles, mal être, pathologies. Consulter une psychologue, c’est échanger en confiance, sans jugement, librement pour comprendre et être accompagné !
Pour quelques repères pratiques, je vous propose ce qui suit :
FORMATIONS
Master professionnel de Psychologie (anciennement DECOP) – 2004 à 2006
Education, développement et conseil en orientation scolaire et professionnelle
CEFOCOP – Université Rennes II
DEA professionnalisant de Psychologie (ancien terme de master) – 2002
Acquisition et gestion des connaissances
Université Paul Valéry – Montpellier III
Maîtrise de Psychologie – 2001
Psychologie cognitive
Université Paul Valéry – Montpellier III

EXPERIENCES
Psychologue – 2006 à 2020
Education Nationale
Hauts de France
Formatrice – 2002 à 2004
Cours de psychologie de l’enfant (étudiants préparant le Concours de Professeur des Ecoles)
Organisme privé – Montpellier
Chargée de cours – 2002 à 2004
TD de méthodologie (étudiants en psychologie)
Université Paul Valéry – Montpellier III Université de Nîmes – Centre Vauban
Stage de professionnalisation – 2002
Stagiaire psychologue scolaire (RASED)
Université Paul Valéry – Montpellier III
Stage universitaire – 2000
Clinique neuropsychiatrique Université Paul Verlaine – Metz
Stage universitaire– 2000
en milieu scolaire (RASED – école maternelle et primaire)
Université Paul Verlaine – Metz